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Le livre

YANN DEFOND, UN CHRÉTIEN AU CAMBODGE

Recension sur mon livre de l’association des Amis de la Coordination Internationale des Jeunesses Ouvrières Chrétiennes.

Visuel de la publication

Yann Defond est originaire de la région de Lyon. Plus jeune, il s’est responsabilisé dans et grâce à la JOC. Depuis quinze ans, il vit à Phnom Penh, au Cambodge, où il poursuit son engagement direct auprès des jeunes du milieu ouvrier. Il a ainsi choisi de partager la vie de la population ouvrière de l’habillement au Cambodge. De formation artistique, il exerce des activités de comédien, journaliste et interprète.

Dans son deuxième livre, « Un chrétien au Cambodge », Yann nous raconte son engagement dans la cité ouvrière, les conditions de travail de certains secteurs, les luttes vécues, la qualité de missionnaire et de témoin… tout en revenant sur ses expériences et combats personnels.

Un livre riche de découvertes sur les réalités ouvrières au cœur de l’Asie, et sur l’aspect missionnaire que nous sommes tous appelés à suivre dans les pas du Christ. Une lecture passionnante pour chaque personne qui se questionne sur les aspects « ouvrier » et « chrétien » de la JOC, et sur comment ce mouvement peut faire sens, même de l’autre côté du globe.

Clémence OTEKPO, présidente de la CIJOC
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Le livre

CAMBODGE – LIVRE : Aux cotés des ouvrières du textile à Phnom Penh

Recension sur mon livre sur le site d’information Gavroche.

Site internet de Gavroche Thaïlande

C’est un livre rare que Gavroche a reçu par la poste à notre siège de Bangkok. Merci à son auteur, Yann Defond. Oui, ce livre est rare, car il raconte ce que vous, nous, bref, les observateurs et les journalistes ne font que côtoyer: la réalité de tous les jours du petit peuple cambodgien, celui des ouvriers et ouvrières des usines textiles de Phnom Penh.

L’auteur est un chrétien engagé. Il ne s’en cache pas, bien au contraire. Il en fait l’instrument de sa découverte et de sa curiosité. Il veut savoir, comprendre, partager. Son récit des relations entre ces ouvrières, locataires d’un studio dans les dortoirs pour employés, avec leurs propriétaires, est éloquent. Il dit tout de la société cambodgienne où la question de classes, mêlée à l’appât du gain, influence tout. Il y a beaucoup d’humanité dans ce témoignage, parce qu’il refuse les caricatures. Il n’y a pas de bons et de méchants. Les propriétaires d’usines font d’une certaine manière leur devoir. Les ouvrières s’acquittent de leur tâche. Le tout, rythmé par une langue cambodgienne remplie de mots issus du français que Yann Defond aime mettre entre parenthèses.

Il n’est pas étonnant que ce livre ait été préfacé par François Ponchaud, le missionnaire qui révéla au monde le génocide des Khmers Rouges. C’est sur cette humanité-là, celle de la solidarité, que Ponchaud a bâti sa vie aux côtés des Cambodgiens. Yann Defond poursuit son œuvre. Et c’est, pour ce pays, une excellente nouvelle.

Article de Gavroche
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Le livre

Le livre (27)

La finalisation d’un manuscrit oblige à faire des choix parfois douloureux comme supprimer des paragraphes. Je vous propose donc ci-dessous un sixième passage rejeté.

Plateau de l’émission Poste 21

Le problème de l’interview était qu’il s’agissait d’une émission d’une heure animée par une des dirigeantes de la chaîne plutôt de mauvais poil, ce qui est compréhensible quand on en arrive au quatrième et dernier enregistrement de la journée. De nombreux Cambodgiens sont maîtres en cet art de masquer leur humeur, ce qui est loin d’être un défaut. Mais quand on a appris à discerner ce qui se cache derrière les regards, les attitudes, les gestes on peut comprendre beaucoup de choses.

Si vous aimez arriver quelque part en commençant par détendre l’atmosphère en lançant une ou deux plaisanteries, ne le faites pas devant une dame de la haute société qui tient à avoir le rôle de la plus importante vedette dans – son – émission. Il s’agissait pour la présentatrice d’affirmer sa suprématie, sa place dans la hiérarchie de la chaîne et son rang social. Ainsi elle me posa des questions devant les caméras qui n’avaient pour autre but que de me rabaisser, de me ridiculiser, ce qui n’est absolument pas dans les mœurs khmères. Quand on est humoriste on se moque bien du ridicule puisqu’on sait rire de soi-même et donc qu’on restera à peu près à l’aise en toute circonstance. Mais mon tord avait été de ne pas adopter une attitude de soumission.

Extrait du manuscrit
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Le livre

Le livre (26)

La finalisation d’un manuscrit oblige à faire des choix parfois douloureux comme supprimer des paragraphes. Je vous propose donc ci-dessous un cinquième passage rejeté.

La coursive de derrière

La plus grande partie des habitants de la cité vit à peu de choses près comme dans une prison : seulement des devoirs, travail à l’usine juste derrière la muraille qui encercle nos habitats, sorties très rares faute de moyen de locomotion et d’argent si ce n’est sur le terrain vague d’en face le dimanche soir. Elle visite tout de même sa famille restée au village deux ou trois fois par an. Et elle garde toujours le sourire…

Extrait du manuscrit
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Le livre

Présentation de mon livre (2)

Le 1er juillet 2022 à la maison de l’avenir de Saint-Etienne, France, avec Terre solidaire et l’Action Catholique Ouvrière.

Mieux comprendre la vie des ouvriers au Cambodge

Échange avec Yann Defond qui vit et travaille au Cambodge depuis 2009.

Il présentera ses livres.

Extrait du tract d’invitation

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La cité

Au Cambodge, le secteur textile découvre le dialogue social

Article du journaliste du quotidien La Croix Alain Guillemoles qui est passé chez moi pour mieux se rendre compte de la réalité de la vie des ouvriers de l’habillement.

© La Croix

Depuis quinze ans, le Cambodge a connu un décollage industriel grâce aux usines textiles qui se sont multipliées sous l’effet des investissements chinois. Les employeurs apprennent dans la difficulté à négocier avec les syndicats naissants, tandis que le gouvernement met en place une protection sociale.

Extrait du reportage
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Les ouvriers

Vivre en solidarité avec les ouvriers du secteur textile (2)

Article adapté de mon livre paru dans la Revue MEP, Cambodge N°585 octobre 2022

Aujourd’hui à Phnom Penh, six catholiques en cinq lieux différents font le choix de vivre au milieu des travailleurs, en particulier ceux de l’industrie de l’habilement. Parmi eux certains vont jusqu’à travailler à l’usine au nom de leur foi en Christ.

Avec la mission ouvrière, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne, mais aussi individuellement, nous ne proposons pas moins aux ouvriers que le salut. C’est à dire la libération de toute entrave : mort, péché, peur, isolement, enfermement, soumission, etc. Ce salut divin nous l’accueillerons peut-être pleinement quand le Christ reviendra. Mais sans plus attendre nous pouvons dès à présent y goûter : prendre conscience de l’incommensurabilité de sa valeur propre en tant que personne ; croire en soi, en sa dignité, en ses capacités, en son avenir ; acquérir une conscience éclairée, une liberté individuelle ; devenir responsable de soi et des autres ; se soucier du bien commun ; vivre ses convictions, les exprimer ; s’épanouir ; ne plus être soumis aux divers pressions sociales ; ne plus redouter le jugement des autres ; sortir de toute crainte, y compris de celle de la mort…

La culture khmère trouve en grande partie sa source en Inde. Le Cambodge n’a jamais connu de système de castes. Cependant, il en reste des traces dans la langue et aussi malheureusement dans la mentalité collective. Cela se manifeste par une hiérarchie sociale où chacun soumet ceux qui sont en dessous de lui et est soumis à ceux qui sont au dessus de lui. Si l’on est au sommet, on peut tout se permettre, on a aucun compte à rendre à personne. Si l’on est tout en bas, on a aucun droit, on doit en toute circonstance manifester de la déférence.

Suite à la visite orchestrée dans notre parc industriel du premier ministre HUN Sèn, mon rédacteur en chef me demanda d’interroger une ouvrière. Sophéap ne voulait pas répondre à mes questions. Elle n’était pourtant pas obligée de dire du mal du chef du gouvernement qui est au pouvoir depuis 37 ans. Et même, elle pouvait témoigner anonymement, le visage masqué et la voix modifiée. Le risque pour elle était extrêmement limité, quasiment nul. Mais « J’ai peur. »

Sophéap ne répond jamais à mes sollicitations pour tel ou tel événement. Elle refuse ce salut qu’elle entraperçoit pourtant à travers mon attention, mon choix de vie, mon rapport aux autres. C’est son droit. Elle préfère rester dans son monde étroit, dans la soumission. Ce choix m’attriste très profondément mais ne m’empêche pas de l’aimer. Pourquoi refuser la liberté tout en ayant conscience de ce qu’elle est ?

En réalité chaque être humain fait cette expérience dans sa vie. « Vois : je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bonheur, la mort et le malheur » (Deutéronome 30, 15). Or nous avons parfois des limites qui nous font choisir le malheur. La liberté est plus désirable mais elle peut faire peur parce qu’elle est responsabilité, risque. A peine sortie de l’esclavage « Toute la communauté des fils d’Israël murmura contre Moïse : “ […] au pays d’Egypte nous étions assis près du chaudron de viande, nous mangions du pain à satiété ! Vous nous avez fait sortir dans ce désert pour laisser mourir de faim toute cette assemblée ! ” » (Exode 16, 2-3). Et puis surtout, le passage de la mer rouge est effrayant, incertain. Sophéap est à l’aise dans son monde étroit parce qu’elle en connaît les quatre coins : le studio, l’usine, le marché, le village natal. Le monde immense, sans mur, sans frontière, sans limite est bien plus enviable mais si elle traversait, alors durant une période, elle se retrouverait comme entièrement nue, sans cette construction mentale exiguë qui la protège.

Heureusement certains acceptent d’avancer. Sa cousine Sav, sans pour autant quitter le même enfermement, accepta de me suivre un jour en fin de journée. L’invitation m’avait été lancée d’aller à la projection privée d’un film presque monté. Chaque invité devait venir avec une autre personne qui puisse formuler des critiques avec un regard extérieur. Sav a une grande confiance en moi mais il fallait qu’elle accepte d’être vue dans la rue en compagnie d’un homme, qu’elle s’autorise un moment de divertissement pour elle-même, qu’elle affronte sa peur de sortir le soir.

Et puis un petit nombre se transforme, passe de l’autre côté de la mer des roseaux. Sarit a répondu à une invitation de la JOC. Petit à petit, il s’est mis à sourire. Il a formulé des projets. Il a entrepris une formation. Il a pris confiance en lui. Il a changé d’employeur, s’est mis à travailler de son mieux. Il a voulu s’informer de la réalité du monde, former sa conscience. Il s’est mis debout. Il a commencé à penser par lui-même en faisant preuve d’esprit critique. Il a pris l’habitude d’exprimer ses convictions. Il a pris des responsabilités. Il est devenu acteur de sa vie. Il a pris conscience de ce qu’il valait. Il s’est mis à désirer le salut de Dieu.

Yann DEFOND, journaliste, ancien volontaire, ancien aspirant, ami des MEP
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Les ouvriers

Vivre en solidarité avec les ouvriers du secteur textile (1)

Article adapté de mon livre paru dans la Revue MEP, Cambodge N°585 octobre 2022

Sommaire des revues

Aujourd’hui à Phnom Penh, six catholiques en cinq lieux différents font le choix de vivre au milieu des travailleurs, en particulier ceux de l’industrie de l’habilement. Parmi eux certains vont jusqu’à travailler à l’usine au nom de leur foi en Christ.

Avec la mission ouvrière, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne, mais aussi individuellement, nous ne proposons pas moins aux ouvriers que le salut. C’est à dire la libération de toute entrave : mort, péché, peur, isolement, enfermement, soumission, etc. Ce salut divin nous l’accueillerons peut-être pleinement quand le Christ reviendra. Mais sans plus attendre nous pouvons dès à présent y goûter : prendre conscience de l’incommensurabilité de sa valeur propre en tant que personne ; croire en soi, en sa dignité, en ses capacités, en son avenir ; acquérir une conscience éclairée, une liberté individuelle ; devenir responsable de soi et des autres ; se soucier du bien commun ; vivre ses convictions, les exprimer ; s’épanouir ; ne plus être soumis aux divers pressions sociales ; ne plus redouter le jugement des autres ; sortir de toute crainte, y compris de celle de la mort…

La culture khmère trouve en grande partie sa source en Inde. Le Cambodge n’a jamais connu de système de castes. Cependant, il en reste des traces dans la langue et aussi malheureusement dans la mentalité collective. Cela se manifeste par une hiérarchie sociale où chacun soumet ceux qui sont en dessous de lui et est soumis à ceux qui sont au dessus de lui. Si l’on est au sommet, on peut tout se permettre, on a aucun compte à rendre à personne. Si l’on est tout en bas, on a aucun droit, on doit en toute circonstance manifester de la déférence.

Suite à la visite orchestrée dans notre parc industriel du premier ministre HUN Sèn, mon rédacteur en chef me demanda d’interroger une ouvrière. Sophéap ne voulait pas répondre à mes questions. Elle n’était pourtant pas obligée de dire du mal du chef du gouvernement qui est au pouvoir depuis 37 ans. Et même, elle pouvait témoigner anonymement, le visage masqué et la voix modifiée. Le risque pour elle était extrêmement limité, quasiment nul. Mais « J’ai peur. »

Sophéap ne répond jamais à mes sollicitations pour tel ou tel événement. Elle refuse ce salut qu’elle entraperçoit pourtant à travers mon attention, mon choix de vie, mon rapport aux autres. C’est son droit. Elle préfère rester dans son monde étroit, dans la soumission. Ce choix m’attriste très profondément mais ne m’empêche pas de l’aimer. Pourquoi refuser la liberté tout en ayant conscience de ce qu’elle est ?

En réalité chaque être humain fait cette expérience dans sa vie. « Vois : je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bonheur, la mort et le malheur » (Deutéronome 30, 15). Or nous avons parfois des limites qui nous font choisir le malheur. La liberté est plus désirable mais elle peut faire peur parce qu’elle est responsabilité, risque. A peine sortie de l’esclavage « Toute la communauté des fils d’Israël murmura contre Moïse : “ […] au pays d’Egypte nous étions assis près du chaudron de viande, nous mangions du pain à satiété ! Vous nous avez fait sortir dans ce désert pour laisser mourir de faim toute cette assemblée ! ” » (Exode 16, 2-3). Et puis surtout, le passage de la mer rouge est effrayant, incertain. Sophéap est à l’aise dans son monde étroit parce qu’elle en connaît les quatre coins : le studio, l’usine, le marché, le village natal. Le monde immense, sans mur, sans frontière, sans limite est bien plus enviable mais si elle traversait, alors durant une période, elle se retrouverait comme entièrement nue, sans cette construction mentale exiguë qui la protège.

Heureusement certains acceptent d’avancer. Sa cousine Sav, sans pour autant quitter le même enfermement, accepta de me suivre un jour en fin de journée. L’invitation m’avait été lancée d’aller à la projection privée d’un film presque monté. Chaque invité devait venir avec une autre personne qui puisse formuler des critiques avec un regard extérieur. Sav a une grande confiance en moi mais il fallait qu’elle accepte d’être vue dans la rue en compagnie d’un homme, qu’elle s’autorise un moment de divertissement pour elle-même, qu’elle affronte sa peur de sortir le soir.

Et puis un petit nombre se transforme, passe de l’autre côté de la mer des roseaux. Sarit a répondu à une invitation de la JOC. Petit à petit, il s’est mis à sourire. Il a formulé des projets. Il a entrepris une formation. Il a pris confiance en lui. Il a changé d’employeur, s’est mis à travailler de son mieux. Il a voulu s’informer de la réalité du monde, former sa conscience. Il s’est mis debout. Il a commencé à penser par lui-même en faisant preuve d’esprit critique. Il a pris l’habitude d’exprimer ses convictions. Il a pris des responsabilités. Il est devenu acteur de sa vie. Il a pris conscience de ce qu’il valait. Il s’est mis à désirer le salut de Dieu.

Yann DEFOND, journaliste, ancien volontaire, ancien aspirant, ami des MEP
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Le livre

Présentation de mon livre (1)

auprès de l’association Phnom Penh Accueil à l’Institut Français du Cambodge et séance de dédicace à la librairie Carnets d’Asie le vendredi 18 novembre 2022.

À l’époque où les arts graphiques me nourrissaient presque, en dehors du cas de Jeffry et de mes contacts professionnels où mon intérêt est direct, les seuls étrangers que je suis amené à rencontrer sont des gens qui ont également fait le choix de vivre – dans – la société cambodgienne et non en parallèle.

Extrait du livre
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Le livre

Les finalistes « Social et Humanitaire » des Trophées ASEAN 2022 sont…

Par Lepetitjournal.com International | Publié le 16/11/2022 à 18:00

Visuel de l’article

Avant de découvrir le résultat lors de la cérémonie du 6 décembre prochain, découvrez les 5 finalistes du Trophée Social et Humanitaire des Trophées des Français d’Asie du Sud-Est, parrainé par la Caisse des Français de l’étranger.

Yann Defond Fondateur de Keyla Torsou au Cambodge
Yann Defond a tout quitté pour aller s’installer en 2009 dans le plus grand quartier ouvrier du Cambodge. Il fait le choix de partager le quotidien des travailleurs, en solidarité avec eux. Le journaliste et comédien décide, avec trois coureurs de fond de la sélection nationale athlétique cambodgienne, de créer KEYLA TORSOU (sport persévérance), la seule équipe indépendante d’athlètes dans le pays. L’objectif est de promouvoir le goût de l’effort et du surpassement mais aussi l’honnêteté, la solidarité, l’entraide, le souci des autres et la fraternité. Yann Defond travaille également en tant qu’humoriste pour différents médias. Par ses prestations, il tente de faire rire en proposant une réflexion sur la société En 2022, il publie un livre sur sa vie « Un chrétien au Cambodge. » dans lequel il analyse, par le concret, ce qu’il perçoit de la mentalité khmère.

Extrait de l’article

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Présentation de mon livre

À l’Institut Français de Phnom Penh avec l’association Phnom Penh Accueil 📅 vendredi 18 novembre 2022 à 10h.

Signature à la librairie

Phnom Penh Accueil organisera une présentation du livre Un chrétien un au Cambodge par son auteur Yann DEFOND à l’Institut Français du Cambodge le vendredi 18 novembre à 10h.

L’auteur dédicacera ensuite son livre dans notre librairie Carnets d’Asie Phnom Penh ce vendredi 18 novembre de 11h à 13h.

Au plaisir de vous retrouver vendredi matin.

Annonce de la librairie
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Contre courant

Dans cette baladodiffusion, le journaliste Thierry LYONNET de Radio Chrétienne Francophone parle de mon livre.

Egalement disponible à l’écoute chez APPLE Podcasts

Un autre point à souligner, qui passe quasiment inaperçu, c’est la réalité des travailleurs précaires et notamment ceux des nombreuses usine textiles. Je vous renvoie pour cela au témoignage de Yann DEFOND qui depuis plus de 10 ans, au nom de sa foi, partage la vie de ces ouvriers et ouvrières khmers. Il vient de publier, aux éditions Médiaspaul, Un chrétien au Cambodge.

Extrait de l’audio téléchargeable