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Le livre

Un chrétien au Cambode par Yann Defond

Je partage ici l’interview de lepetitjournal.com sur la sortie de mon livre.

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Le livre de Yann DEFOND, Un chrétien au Cambodge, sortira au Cambodge le 20 mai prochain. Au long de ses 168 pages, l’auteur analyse par le concret ce qu’il perçoit de la mentalité khmère.
Ce français quadragénaire vit depuis une quinzaine d’années dans un parc industriel de la périphérie de la capitale. Il a fait le choix de partager le quotidien des travailleurs de la cité qu’il habite en solidarité avec eux. Complètement intégré à la société cambodgienne, ce fils d’ouvrier ne travaille plus à l’usine mais comme journaliste, comédien et interprète.


Yann vit en immersion au milieu des petites gens khmers. Il nous brosse ici un portrait de ce qu’il a vécu auprès des de ouvriers du textile. Les anecdotes qu’il nous conte illustrent les propos qu’il tient sur la façon de vivre de ces gens là.
Ce livre constitue aussi un témoignage qui ne verse jamais dans le prosélytisme, sur la façon qu’un jeune homme choisit de vivre pleinement sa foi.
Un témoignage doublement humain et donc doublement intéressant.
Lepetitjournal a rencontré Yann DEFOND, voici la retranscription de notre entretien :

[…] YD : Il est en vente au prix de 40.000 ៛ à la librairie Carnet d’Asie de la rue 184 à l’institut français de Phnom Penh. Il est également possible de le commander en passant par mon blog http://defondyann.com. Il peut être dédicacé et livré dans n’importe quelle ville du royaume.

Par Yann D

Le choix de Yann DEFOND pour la vie en tant que fils d’ouvrier et chrétien est de partager l’existence des travailleurs qui habitent le plus grand quartier ouvrier du Cambodge en solidarité. Il a d’ailleurs lui-même travaillé en usine, dans l’industrie graphique, en France, son pays natal.
Son témoignage en cours d'écriture relate donc ce qu’il peut observer auprès des jeunes femmes qui cousent jour après jour bon nombre des vêtements que portent les européens. Quelques réflexions et autres notices autobiographiques agrémentent ce texte dans lequel il évite humblement d’employer le pronom personnel sujet de la première personne du singulier pour parler de lui.

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