Première rencontre de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne dans la cité. Ce mouvement était constitué au départ de quelques jeunes travailleuses catholiques soucieuses de donner sens à leur vie, à leur labeur.
En revenant à Phnom Penh en 2009 après 4 ans d’absence, il était tentant de croire qu’après avoir pris une année pour voir, observer, écouter, nous allions pouvoir faire démarrer ou redémarrer des équipes de relecture de vie de jeunes travailleurs avec quelques intéressés comme à l’époque de ma coopération dès fin 2003. Cette démarche vécue lors de rencontres régulières permet de mieux saisir l’importance, la valeur de sa vie, de la vivre plus intensément, en en savourant chaque instant, en y étant toujours plus présent. Ainsi ceux qui jouent le jeu prennent plus de responsabilités dans leur vie, en deviennent acteurs.
Extrait du livre