Et en particulier à ceux qui vivent à Phnom Penh et Ta Khmao en zone rouge et dont les usines sont fermées.
On nous parle de développement, en réalité de hausse du PIB. Certains en profitent mais qui pense à ceux qui, pour son augmentation, y laissent jour après jour un peu de leur santé ou de leur vie sociale sans voir vraiment leur labeur récompensé ? Entendre Chanty déplorer « Quand mon fils est malade je n’ai pas l’argent pour le faire soigner alors je suis obligée de m’endetter » alors qu’elle bénéficie d’un emploi à temps plein, est-ce bien normal ?
Extrait du livre