J’ai tourné ce clip parodique dans le plus grand quartier ouvrier de Phnom Penh, la capitale du Cambodge, pour montrer quelque chose de la vie de ceux à qui le pays doit sa croissance économique.
Nous nous retrouvons, tristes, abattus.
Paroles traduites du khmer
Je suis blasé, je ne veux pas embaucher.
Je ne tiens pas à travailler jusqu’à tard dans la nuit.
Le lundi est le jour que je déteste le plus.
Pareillement les paroles des chansons anciennes sont presque intouchables. Mieux vaut ne pas s’amuser à les transformer pour les essayer devant les caméras : Arabpiya qui devient ArabpiYann. Cela évitera au producteur de l’émission de tomber à la renverse.
Extrait du livre